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Réchauffement climatique: les modèles informatiques du GIEC bons pour la poubelle !

Vincent Bénard Publié le 31 juillet 2009
1718 mots - Temps de lecture : 4 - 6 minutes
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Objectif Liberté

Scoop : Une publication de Richard Lindzen, résumée en Français par Jean Martin (pensee-unique.fr), et qui fait beaucoup parler chez Anthony Watts, Lubos Motl, et tous les forums climatiques, apporte une nouvelle preuve, si besoin en était, que les modèles du GIEC, qui prédisent tous un "emballement du climat" à cause de prétendues "rétroactions positives de la vapeur d'eau" à cause de l'augmentation initiale de température liée au CO2, sont absolument faux. Comme Jean Martin écrit en français très accessible, inutile que je résume à mon tour, c'est limpide. Et pour les réchauffistes patentés qui refusent de lire tout ce qui ne va pas dans leur sens, rappelons que Lindzen est titulaire de la principale chaire de climatologie du MIT, ce qui a priori ne fait pas de lui un charlot. C'est un sceptique de longue date, plusieurs fois amené à témoigner devant le congrès des USA, qui a claqué la porte du GIEC au tournant du millénaire à cause des dérives politiciennes de cet organisme. Il a déjà publié de nombreux travaux dans les meilleures revues scientifiques sur le rôle des nuages dans l'équilibre thermique de la planète. Voici le résumé de J.Martin : Dans un article actuellement sous presse au GRL ( pdf disponible) Lindzen, R. S., and Y.-S. Choi (2009), On the determination of climate feedbacks from ERBE data Geophys. Res. Lett., doi:10.1029/2009GL039628, in press. (accepted 20 July 2009) Lindzen et Choi montrent un ensemble de graphiques qui en disent long sur les contradictions fondamentales qui existe entre les "prédictions" des modèles du GIEC et le mesures réelles des flux sortants effectués par ERBE (Earth Radiation Budget Experiment, Expérience sur le budget radiatif de la terre) à bord du satellite ERBS de la NASA. Sur les 12 graphiques ci-contre : L'échelle horizontale est graduée en degrés Celsius. Elle indique la température moyenne de la surface des océans (SST) L'échelle verticale indique la valeur du flux énergétique sortant de l'atmosphère en direction de l'espace. Les onze graphiques à fond blanc représentent les résultats des onze principaux modèles du climat utilisés (et lourdement financés) par le GIEC et les états participants. En particulier, on retrouve le modèle GISS-ER (de Hansen-Schmidt), le modèle UKMO-HadGEM1 (Hadley Center, UK) et, pour les lecteurs français, le modèle IPSL-CM4 de l'Institut Pierre Simon Laplace (Jouzel, le Treut).... Tous ces modèles numériques décident ou prévoient que lorsque la température des océans augmente, le flux s'échappant de l'atmosphère terrestre vers l'espace doit diminuer : Ce serait donc une rétroaction positive car un réchauffement de la planète conduirait encore à une augmentation du réchauffement par réduction de la fuite d...
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