6287 search

Réflexions connexes à l’ouvrage de Jacques Rollet, Le libéralisme et ses ennemis : Hayek, Schmitt...

Ronny Ktorza Publié le 23 août 2012
878 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
Lire plus tard

Quelques réflexions connexes à l’ouvrage de Jacques Rollet, Le libéralisme et ses ennemis : Hayek, Schmitt, Badiou… et les autres Il y a six mois, en pleine campagne présidentielle, Jacques Rollet a publié un ouvrage intitué Le libéralisme et ses ennemis : Hayek, Schmitt, Badiou… et les autres. Ma première impression, à la lecture du titre du livre, était plutôt négative. J’en vins à me demander si Rollet avait perçu la différence idéologique manifeste entre Hayek, Schmitt et Badiou. Après tout, il n’aurait pas été le premier auteur à se fourvoyer sur la nature du libéralisme… La présentation m’a heureusement rassuré : l’auteur regrette que le volet « économie » du libéralisme fasse l’objet d’un traitement à part. « Libéralisme économique » et « libéralisme politique » seraient presque antinomiques selon certains. Hélas, certains libéraux alimentent cette confusion : ainsi, Raymond Aron écrivait dans son Introduction à la philosophie politique : « La plus grande erreur des libéraux, me semble-t-il, est d’avoir cru que le libéralisme politique et le libéralisme économique allaient de pair ». Heureusement, Milton Friedman mit les choses au clair : « L’histoire suggère uniquement que le capitalisme est une condition nécessaire à la liberté politique. ». Philippe Raynaud, auteur plus « neutre », indiquait, lui aussi, dans son Dictionnaire de philosophie politique, que séparer les versants d...
Cet article est reservé uniquement pour les membres Premium. 75% reste à lire.
Je me connecte
24hGold Premium
Abonnez-vous pour 1€ seulement
Annulable à tout moment
Inscription
Articles en illimité et contenus premium Je m'abonne
Editoriaux
et Nouvelles
Actions
Minières
Or et
Argent
Marchés La Cote
search 6287
search