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Risque systémique, aléa moral et autres absurdités économiques.

Georges Lane Publié le 25 février 2013
1382 mots - Temps de lecture : 3 - 5 minutes
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L'ignorance ou l'incertitude de telle ou telle nature sont des domaines récents de l'économie politique. 1. "Risque systémique" et "aléa moral". "Risque systémique" et "aléa moral" en sont des conséquences relatives à telle ou telle considération de ces domaines prises par des économistes. Par exemple, il y a, en France, le "Conseil de régulation financière et du risque systémique" : "Le conseil de régulation financière et du risque systémique (Coréfris) a été créé par la loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010. Cette instance, composée de représentants de la Banque de France et des autorités de contrôle du secteur financier, est désormais chargée de conseiller le ministre chargé de l'économie dans la prévention et la gestion du risque systémique. Participant au renforcement de la régulation du secteur financier et des marchés, ce conseil vise à mieux prévenir les risques et à mieux coordonner l’action de la France dans les enceintes internationales et européennes." Soit dit en passant, longtemps le système monétaire international a été une entité totale et certaine envisagée par ceux qui en parlaient. Désormais, un petit bout semble leur échapper : le système est incertain ou, si on préfère les écouter, le risque est systémique. Et le conseil doit s'efforcer d'y répondre... S'agissant de l'aléa moral, cette notion procède de deux autres grandes notions, l'une de l'assurance et l'autre de l'inefficacité économique qui curieusement y est ajouté par des déformateurs: "According to research by Dembe and Boden,[1] the term dates back to the 17th century and was widely used by English insurance companies by the late 19th century. Early usage of the term carried negative connotations, implying fraud or immoral behavior (usually on the part of an insured party). Dembe and Boden point out, however, that prominent mathematicians studying decision making in the 18th century used "moral" to mean "subjective", which may cloud the true ethical significance in the term.[2] The concept of moral hazard was the subject of renewed study by economists in the 1960s and then did not imply immoral behavior or fraud. Economists would use this term to describe inefficiencies that can occur when risks are displaced or cannot b...
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