Les autorités européennes, la BCE, la Commission, les chefs Etats, l’avaient affirmé haut et fort : la restructuration de la dette grecque restera une exception, la première et la dernière du genre, aucun autre pays ne bénéficiera d’une telle mansuétude. Il fallait éviter la contagion, car si chaque pays en difficulté demande une restructuration de sa dette (qui se traduit par une perte sèche pour les investisseurs), c’est la confiance globale dans la zone euro qui est remise en cause.
Pourtant, loin des caméras, et sans convoquer des « sommets de la dernière chance », un autre pays a bénéficié d’une restructuration : l’Irlande. Les grands médias ...
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