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Selon la BRI : si nous étions préoccupés par l’endettement excessif en 2007, nous ne pouvons pas êtr

Charles Sannat Publié le 18 juillet 2014
813 mots - Temps de lecture : 2 - 3 minutes
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Au Coffre

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! C’est encore et à nouveau à Ambrose Evans-Pritchard du Telegraph, dont je pense qu’il est actuellement le meilleur journaliste économique d’Europe, que l’on doit ce papier passionnant où il est allé écouter pour nous tous Jaime Caruana qui n’est rien de moins que le patron (fort peu médiatique) de la BRI, la banque centrale des banques centrale, BRI signifiant « banque des règlements internationaux ». Jaime Caruana s’adressait aux participants du XXIIIe Congrès international des banques à Saint-Pétersbourg et voici ce qu’il a dit… Vous pourrez constater que lui aussi est un « grand optimiste »… ce qui non seulement est ironique mais surtout, au-delà, me rassure sur mon « pessimisme » qui à en croire l’ensemble des déclarations récentes et de plus en plus nombreuses commence à s’avérer plus que fondé. « L’économie mondiale est tout aussi vulnérable à une crise financière comme celle de 2007, avec le danger supplémentaire que les ratios d’endettement sont maintenant beaucoup plus élevés et que les marchés émergents seraient également cette fois directement concernés. » Il est vrai, bien que personne n’insiste là-dessus, que les dettes souveraine...
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