« Mon Dieu ! », a sans doute aboyé Janet Yellen la semaine dernière alors que le Japon prenait la décision de remplir le trou de liquidité laissé derrière elle par la course à la réduction du QE3 de la Fed qui franchissait alors tout juste la ligne d’arrivée. Le galant samurai de la banque centrale du Japon, Haruhiko Kuroda, déclarait alors que sa nation était reconnaissante envers l’inflation générée par le généreux peuple des Etats-Unis, qui permettra à son pays de s’empaler sur son wakizashi et d’abandonner le monde de modernité industrielle dans lequel il se démène depuis déjà deux siècles.
L’impression monétaire se trouve être le cadeau qui ne cesse jamais d’offrir. Les marchés américains des actions ont de nouveau traversé leurs soubresauts du mois d’octobre, et les obligations sont grimpées doucement dans l’anticipation de l’arrivée de capitaux étrangers vers les banques américaines. L’euroland aussi a accepté le cadeau de l’inflation face à l’affaiblissem...
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