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Sur la gaffe d'Obama : "Vous n’êtes pas responsable de votre propre succès"

Tom DiLorenzo Publié le 13 avril 2012
1284 mots - Temps de lecture : 3 - 5 minutes
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Tom DiLorenzo.

Barack Obama, en déclarant que les entrepreneurs Américains les plus prospères ne sont pas les seuls responsables de leur propre succès, nous a prouvé une fois de plus qu’il est un Fier Marxiste (comme le surnomme Yuri Maltsev, ancien conseiller de Mikhail Gorbatchev). Sans les bureaucrates du gouvernement, les chefs d’entreprise n’en seraient pas où ils en sont aujourd’hui, a affirmé le Marxiste de la Maison Blanche, prenant pour exemple les écoles et autoroutes ayant été financées par le gouvernement. Tout comme ses amis Marxistes, Barack Obama ignore tout des lois économiques. Aucun entrepreneur ne considère avoir créé son entreprise sans aide extérieure. Chacun d’entre eux collabore de jour en jour avec des fournisseurs, des clients, des employés, des comptables, des marketeurs, des banquiers, des investisseurs, et bien d’autres personnes. Voici ce qu’en a écrit Adam Smith dans son traité de 1776 intitulé Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations : ‘Dans une société civilisée, une personne a constamment besoin de la coopération et de l’assistance d’un très grand nombre, alors que sa vie entière ne lui suffit à gagner l’amitié que d’une poignée d’individus… Un homme a constamment besoin du secours de ses frères, mais ne peut espérer que ce secours soit bénévole. Il a de plus grandes chances de pouvoir s’imposer lorsqu’il parvient à convaincre ses pairs de diriger leur amour-propre en sa faveur, et de leur montrer qu’il est en leur avantage que de faire ce qu’il leur demande. C’est là ce que propose toute personne offrant un marché à une autre. ‘Donnes-moi ce que je veux et je te donnerai ce que tu veux’ est la devise se cachant derrière chacun de ces marchés. C’est de cette manière que nous obtenons d’une autre personne les biens dont nous avons besoin. Ce n’est pas du bénévolat d’un boucher, d’un brasseur et d’un pâtissier que nous tirons notre dîner, mais d’un échange allant également dans leur intérêt… Seul un mendiant peut choisir de ne dépendre uniquement que du béné...
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