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Une rustine appelée privatisation

Nils Sinkiewicz Publié le 16 décembre 2011
591 mots - Temps de lecture : 1 - 2 minutes
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Pour sortir de la crise, l’État devra-t-il céder ses actifs ? Oui, selon le député UMP des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian, qui a récemment jeté un pavé dans la mare en évoquant les « recettes considérables » que dégageraient d’éventuelles privatisations. Une mesure nécessaire, mais insuffisante, et moins audacieuse qu’elle n’en a l’air. Certes les privatisations partielles suggérées par Patrick Devedjian feraient rentrer entre 15 et 20 milliards d’euros dans les caisses de l’État, comme il l’a lui-même expliqué sur Europe 1. Si on ne peut parler de « manque à gagner » pour désigner le pourcentage de PIB que l’État restitue aux contribuables par le biais du bouclier fiscal, l’expression est en revanche tout à fait appropriée concernant les actifs de l’État, que ce dernier a achetés et qu’il peut donc revendre. Mais il est à craindre qu’une cession d’actifs, loin d’annoncer l’abandon des dogmes interventionnistes, ...
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