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Vigilance orange sur le gouvernement…

Charles Sannat Publié le 21 novembre 2013
1875 mots - Temps de lecture : 4 - 7 minutes
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Au Coffre

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens ! L’hiver sera rigoureux, heureusement nous avons des bonnets… Étant ce soir en manque total d’inspiration, l’actualité étant plate, voire inexistante puisque même le tireur « fou » qui s’est autoradicalisé tout seul sur Internet est introuvable, il n’y a pas grand-chose à dire. Heureusement, la neige est là… Oui, c’est important la neige. Je sais ce que vous vous dites, « Charles quand on n’a rien à dire, on se tait et on attend d’avoir un truc à raconter, pas besoin de convoquer la météo… » Eh bien si mes chers contrariens. Tout d’abord, je ne vous parlerai pas que de ça mais la météo a un impact évident sur le PIB, surtout le froid. Explications de la crôassance française du dernier trimestre grâce à la boule de cristal à haute efficacité des Contrariens Quand il fait chaud, les gens consomment beaucoup plus en terrasse, restent plus longtemps et comme ils ont soif… ils boivent plus. Bernard, mon copain de comptoir, adore quand il fait chaud, il sait que la journée sera bonne (comprenez que la recette sera excellente et ça, Bernard, il aime bien). Les gosses veulent manger des glaces, ce qui est très bon pour les fabricants du type surgelés sucrés… Mais au final, l’impact sur le PIB en général est assez faible car il y a ceux qui font des régimes et qui ne mangent que les « petites salades légères » à moins de 12 euros, ceux qui ne prennent qu’une carafe d’eau non pas minérale mais municipale et préfère au Château Latour le Château Lapompe, ce qui, ma foi, est effectivement moins coûteux. Les diabétiques ne mangent pas de glaces etc., etc. Conclusion : l’impact économique est réel… mais de faible intensité. Alors que le froid, mes amis, c’est génial. Plus ça caille, plus on chauffe, plus on chauffe, plus EDF qui nous doit plus que la lumière nous vend de l’électricité dont le prix ne sait aller que dans un sens, celui de la hausse. C’est la même chose pour les vendeurs de gaz, de charbon, de bois, de poêle, etc. Or même les diabétiques et les radins finissent par se chauffer à un moment, sans oublier les petits vieux dont le système circulatoire les rend frileux dès le 15 août, date à laquelle ils tentent par un système de pétition de faire redémarrer le chauffage central de mon immeuble, ce qui me coûte personnellement une fortune… enfin surtout à ma femme, vu que le prélèvement a lieu sur son compte. Et ça, le chauffage, c’est super bon pour le PIB à défaut d’être bon pour la planète et les gaz à effets de serre. D’ailleurs, je ne suis pas membre du GIEC (le machin sur l’étude du climat qui aide à définir un cadre pour nous mettre tout plein de taxes écologiquess) mais plus...
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