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Cours Or & Argent

La démocratie contre la liberté

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Extrait des Archives : publié le 07 décembre 2002
1730 mots - Temps de lecture : 4 - 6 minutes
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Rubrique : Fondamental




La nature des choses fait que l’État est constamment en crise: crise budgétaire, crise de relations de travail, crise du système de santé, crise de ci et de ça, dépassement de coûts, corruption, scandales, etc. La plupart des articles publiés dans ce magazine visent à expliquer pourquoi les actions de l’État, fondées comme elles le sont sur la coercition et la planification centralisée, ne peuvent logiquement qu’entraîner des effets pervers, contraires aux intentions (même si on les présume bonnes) qui sont censées les motiver.

Ceux qui comprennent la science économique voient bien qu’il est impossible de « mieux planifier » la gestion de l’État et qu’il n’existe qu’une seule solution à ces maux: libéraliser et privatiser, laisser les individus eux-mêmes, dans un contexte où les droits de propriété sont protégés et les échanges ont lieu volontairement dans un marché libre, s’organiser pour répondre à leurs besoins. Une solution évidemment inacceptable pour les étatistes qui cherchent à sauver leurs idéaux et leur pouvoir. 
  
          Après la lutte des classes, l’interventionnisme économique, et toutes les variations sur le thème du collectivisme qu’on nous propose depuis quelques décennies (nationalisme, féminisme, écologisme, multiculturalisme, libération gaie, anarchisme, antimondialisation, etc.) voici donc la nouvelle solution à la mode pour contrer cet état de crise: plus de démocratie. La démocratie semble être devenue la réponse à tout chez les parlotteux du Québec. Lorsque l’État fonctionne mal, c’est parce que nos institutions démocratiques sont mal adaptées à la réalité moderne. Lorsque le gouvernement prend des décisions impopulaires, c’est parce que la population n’exprime pas assez bien sa volonté démocratique. Si seulement notre démocratie était plus efficace, tout baignerait dans l’huile.  
  
          Depuis deux ans, une coalition d’individus et de groupes favorables à un mode de scrutin proportionnel, le Mouvement pour une démocratie nouvelle (www.democratie-nouvelle.qc.ca), fait campagne dans le but de susciter un débat public sur un projet de réforme du mode de scrutin. Le gouvernement du Québec a répondu en lançant, en septembre dernier, des États généraux sur la réforme des institutions démocratiques (www.pouvoircitoyen.com). Ce comité, sous la présidence de l’ex-dirigeant du Mouvement Desjardins Claude Béland, est présentement en tournée dans les régions de la province.  
  
          Lorsque des étatistes bien-pensants se mettent à promouvoir en si grand nombre une nouvelle solution à la débandade étatique, c’est qu’il y a sûrement de bonnes raisons de s’en méfier.  

Un système de plus en plus tyrannique 

  Le concept de démocratie a une connotation positive pour presque tout le monde. Il s’oppose à tyrannie, oligarchie, monarchie, hiérarchie, totalitarisme. Historiquement, les démocrates ont été du côté des « bons », des partisans de la liberté, et se sont opposés aux méchants, partisans de tous les systèmes détestables précédemment nommés. Entre un Hitler, un Staline et un politicien social-démocrate démocratiquement élu, on n’aurait aucune hésitation à choisir d’être gouverné par le dernier. Difficile donc, de prime abord, de s’y opposer. Mais il faut voir plus loin que cette première réaction convenue.  
  
          Tout au long du 20e siècle, les démocraties ont toutes connu le même type d’évolution: une croissance inexorable de la taille de l’État. Cela n’est pas le fruit du hasard. La logique démocratique fait en sorte que pour avoir de bonnes chances d’être élus, les politiciens doivent céder aux pressions de divers groupes organisés et influents qui demandent privilèges et redistributions de la richesse à leur profit, en échange d’appuis électoraux. Ceci se fait bien sûr aux dépens des citoyens ordinaires, qui voient leur liberté constamment restreinte, et le fardeau fiscal qu’ils doivent supporter toujours plus élevé. En fait, il est devenu pratiquement impossible pour un politicien de connaître le succès sans être corrompu et sans jouer à ce jeu (voir CORRUPTION POLITIQUE: LE PROBLÈME, C'EST LA DÉMOCRATIE, le QL, no 101). Même si la démocratie est toujours préférable au totalitarisme fasciste ou communiste, elle est devenue un système de plus en plus tyrannique, où la liberté est de moins en moins protégée.  
  
          Si les gauchistes se tournent aujourd’hui vers la démocratie après avoir échoué dans leur tentative d’imposer leur république populaire d’un Québec indépendant, c’est parce qu’elle est en fait devenue un excellent prétexte pour justifier le collectivisme. Difficile en effet d’offrir une critique rationnelle contre une intervention de l’État lorsque sa justification est que la population s’est exprimée et a fait un choix démocratique dans ce sens. Comment ose-t-on s’opposer à la volonté populaire? Et dans la mesure où un secteur quelconque de l’économie ou de la société a été nationalisé, si quelque chose ne va pas, alors la réponse lorsqu’on rouspète est toujours la même: si vous n’êtes pas satisfait et que vous voulez changer les choses, impliquez-vous dans le processus démocratique!  

Mais voilà, lorsqu’on défend la liberté, on n’en a rien à foutre du processus démocratique! Si l'État prenait le contrôle de la distribution alimentaire à la suite d’une « expression de la volonté populaire démocratiquement exprimée » (rien d’irréaliste dans cette hypothèse, le gouvernement contrôle déjà notre éducation, notre santé, notre consommation d’alcool, en partie notre logement, et bien d’autres secteurs de production), devrions-nous nous « impliquer » dans le débat pour savoir si les magasins d'État devraient nous servir dix ou quinze différentes coupes de viandes et à quel prix? Qu'arriverait-il si à cause des écueils de la gestion bureaucratique il n'y avait du poulet que deux jours par semaine en vente dans ces magasins? Faudrait-il manifester dans les rues et jouer le jeu des groupes de pression pour forcer le gouvernement à en offrir cinq ou six jours sur sept?  
  
          La démocratie, ça fonctionnerait mieux, disent certains, si seulement les citoyens faisaient leur « travail de citoyens » et participaient. Mais il y a de bonnes raisons pourquoi les gens ne le font pas et décrochent des débats politiques. Les États aujourd'hui interviennent partout et dans tout. Allons-nous devoir passer plusieurs heures à nous informer sur la situation du tourisme au Québec parce que le gouvernement dépense des millions dans l'industrie touristique? Et nous informer sur le cas des mines en Abitibi parce que le gouvernement subventionne la recherche minière? Et sur la situation des toxicomanes autochtones parce qu'il y a des programmes qui coûtent des millions pour eux qui sont peut-être mal gérés, mais qui ne le seraient pas si seulement des milliers de citoyens écrivaient des lettres et appelaient leur député? Mais nous avons autre chose à faire que de nous occuper de ces histoires et des problèmes de toutes la collectivité, nous avons une vie à vivre!!! 
  
          Prendre de telles décisions en groupe, imposer les choix d'une majorité simple ou même absolue à tous, est une façon de faire non seulement absurde et inefficace, mais collectiviste. La solution n’est pas de mieux faire fonctionner ce système en tentant de l’influencer de l’intérieur, en participant au jeu, mais bien de le démanteler. Ce sont les choix des consommateurs qui devraient influencer l'allocation des ressources, pas les pressions politiques. Il faut enlever le pouvoir de décision des mains des politiciens et des bureaucrates et le remettre dans celles des individus, leur permettre de faire ces choix individuellement, dans un système fondé sur la propriété privée et le libre marché. Nous n'avons pas à décider collectivement de « l'avenir de notre système de santé », pas plus que de « l'avenir de notre système de production et de distribution de carottes » 
  
          Tous ces « débats de société » qui remplissent les pages des journaux n'existent que parce que des pans entiers de l'économie ont été étatisés. Privatisons-les et il n'y aura plus rien à débattre, chacun décidera pour lui-même dans un marché libre, tout comme on le fait lorsque vient le temps de s’acheter une paire de chaussures ou d’aller au restaurant. Nous n'aurons plus besoin de la démocratie, c'est-à-dire d'un système de prise de décisions collective, pour gérer ces choix. Chacun pourra s'occuper de ses affaires et nous pourrons cesser de nous intéresser aux constantes réformes que les politiciens et bureaucrates concoctent en notre nom.  

Une aventure collective 

La démocratie sert aujourd'hui avant tout les intérêts des collectivistes et des étatistes. Il suffit du vote d'une majorité pour que n'importe quelle atteinte aux droits individuels, n'importe qu'elle nationalisation d'un secteur économique, n'importe quel projet de réglementation ou de redistribution de la richesse, ou privilège accordé à des groupes, devienne justifié. La majorité le veut! 
  
          Toutes les formes de tyrannie deviennent ainsi légitimes, dans la mesure où les politiciens ont obtenu un « mandat démocratique » – c'est-à-dire le vote des groupes de parasites qu'ils favorisent et entretiennent – pour les mettre en vigueur. Mais si la majorité votait en faveur de la lapidation des femmes adultères, de l’expulsion de tous les individus de race noire, ou d’une surveillance vidéo constante et systématique, y compris dans les endroits les plus intimes, pour lutter contre la criminalité, cela serait-il pour autant acceptable? Les droits individuels ne devraient pas être soumis au vote et ne devraient pas être brimés, même par la volonté d'une majorité.  
  
          Le ministre responsable de la Réforme des institutions démocratiques, Jean-Pierre Charbonneau, exprime parfaitement bien la logique collectiviste qui sous-tend son projet sur la page d’accueil des États généraux: « L’aventure humaine, écrit-il, n’est pas une aventure solitaire. C’est une aventure collective, et la démocratie constitue une façon à la fois exigeante et valorisante de faire participer tous les membres de la collectivité au gouvernement de l’ensemble. »  
  
          Pour retrouver la liberté, c’est le contraire de chercher à améliorer le système démocratique qu’il faut faire. Il faut délégitimer ce système par lequel une élite dirigeante s'approprie légalement le contrôle de l'État et se permet de gérer notre vie dans ses moindres détails en nous soutirant la moitié de notre revenu. Ce processus visant à « réformer nos institutions démocratiques » n’est en fin de compte qu'un autre cirque de la part des politiciens et des groupes de pression étatistes qui voient bien que la légitimité de leur pouvoir est de plus en plus remise en question, et qui cherchent des moyens de le sauvegarder. Nous n’avons aucune raison d’y participer ou de nous y intéresser.  
  
          Tant mieux si la démocratie est en crise. La démocratie est un système immoral. La préoccupation principale des libertariens doit être de réduire le rôle de l'État et d’éliminer les raisons de prendre des décisions collectives, non d’aider la clique de parasites étatiques à consolider son pouvoir sous prétexte de mieux refléter la volonté collective. 


            

Martin Masse

Le Quebecois Libre





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nous ne vivons pas en démocratie...
Nous vivons dans un système qui repose sur une combinaison de capitalisme et de démocratie. D’une part, le capitalisme de « copinage » organise la collusion entre acteurs privés et acteurs publics en vue de créer et d’accaparer des rentes.
D’autre part, la pseudo-démocratie caractérisée par un bipartisme de « connivence » a pour but de « forcer » l’adhésion des masses populaires et des classes moyennes au système. Capitalisme de copinage et pseudo-démocratie sont intimement imbriqués et pilotés par l’État profond.
Pour changer le système il faut d'abord l’abattre.
voir : Révolution silencieuse : En route vers le boycott
http://blog-conte.blogspot.fr/2017/03/revolution-silencieuse-en-route-vers-le.html
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Excellente analyse ! Green
L'auteur présuppose que, dans nos pays (France, canada, USA, etc.) nous vivrions en démocratie. Or, ce n'est pas le cas. Je suggère à ceux qui le croiraient d'écouter les intéressantes conférences d'Etienne Chouard, précisément sur ce sujet.

Le terme même de "démocratie représentative élective" est un oxymore qui désigne en fait le gouvernement par une aristocratie et non par le peuple. Cette aristocratie, héritière de la noblesse de l'ancien régime (avec une part privilégiée de la bourgeoisie), a ses propres intérêts bien sûr et ceux-ci ne coïncident pas avec ceux du peuple qui les a "élus".

En plus, aujourd'hui, sauf quelques rares exceptions, nos élus sont des traitres vendus à l'Empire qui est en train de nous dépouiller avant de nous éliminer.

On comprend qu'il y ait comme un malaise...

PS : personnellement, je préfèrerais une VRAIE démocratie à une dictature. J'adhère à l'amusant commentaire de Churchill qui a dit : "La démocratie est le pire des régimes, à l'exception de... tous les autres."
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Achtung ! Les rouges sont de sorties !!! Je me marre de plus en plus !
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Faut-il renoncer à la démocratie ?
le 18 mars 2013 18H21 par Jacques Attali

Oui , répond le porte parole Kazhars de la ploutocratie.

http://blogs.lexpress.fr/attali/2013/03/18/faut-il-renoncer-a-la-democratie/

...Qui milite pour un gouvernement d' "experts" non élu , comme la BCE , FED , FMI , Politburo de l'EU , etc...
Avant , nous avions aussi DSK , expert en culbute ancillaire et accessoirement patron du FMI .

Que des têtes de vainqueurs.
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Vous devriez éviter de faire attention à ce que dit sieur Attali, c'est pas bon pour la tension ;P
Evaluer :   7  1Note :   6
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à l'attention du Modérateur ,

Ce serait bien si les contradicteurs qui flèchent d'abondance en rouge disent pourquoi , ou ce qui serait faux ou se taisent .
Puissent porter un jugement sur le fond et pas sur le posteur.
Ce serait mieux que du commérage anonyme.
Merci de votre compréhension
Evaluer :   7  1Note :   6
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ouai je vois ça, j'ai repéré au moins 4 pseudos dont le votre, qui au moindre commentaire, les flèches rouges arrivent, même lorsque le commentaire est comme ceux des autres, ayant eux, eu des avis positifs.

mais ne vous fatiguez pas, autant ignorer, de toute manière ce sont juste des trolls comme vous le dites, ils ne commentent jamais, peu être une déficience neuronale. :p

Evaluer :   9  0Note :   9
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@D

Vous lachez rien vous !
Quel marrade cette histoire de Kazars et de génétique...Excellent même.
Attali, Minc les "Conciliere" de la mafia d'état.

Cordialement
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En effet , voilà un excellent article...
Cependant , la majorité est incapable de le comprendre ..."Quelle horreur , tu oses remettre en question le démocratie?"
Voilà ce qu'on me dit lorsque je tente d'exprimer ce qui est esquissé ici.....
Les gens sont foutus , empoisonnés , spoliés par le collectivisme et décervelés par TV débile vision lobotomie et autres jeux du cirque sportifs ou non....
Je le vois souvent quand à table je suis raillé par les convives qui s'exclament : "Comment? Tu es contre les taxes et les impôts? Les impôts c'est le civisme!"
Alors , je ferme ma gueule et je me dis que tant pis , ces crétins méritent d'être spoliés....
Ensuite , arrivant au dessert , servi avec un bon digestif ( surtaxé si pas produit en cachette), ces mêmes convives pleurent sur leur sort en disant :
"Ce n'est pas normal , ce n'est pas juste , la maison que nous avons construite ne nous appartient pas vraiment alors que nous travaillons dur ....Il faut toujours payer même après avoir remboursé le crédit et en plus nous ne sommes pas libre d'en disposer comme on le voudrait ni de le transmettre aux enfants comme on l'entend....L'état , veut toujours en voler une part....Non , ce n'est pas normal....."
Hahahaaaaaaaaaa! En voilà une contradiction de crétin comme je les aime.....
Le souci , c'est que les gens ne veulent pas prendre leur vie en main , ils refusent de réfléchir car le fait de réfléchir implique la responsabilisation...
Pour enfoncer le clou , la plupart des gens sont c... , et le c.. ne sait pas qu'il est c.. , c'est tragique!
Alors "vive la démocratie "ou le règne des ploutocrates via le mandat universel des c... !
Nous travaillerons pour rien tant que la mafia légale qui ne produit aucune richesse (mais qui la parasite) aura le mandat démocratique( mandat des c...) de dire à ceux qui produisent des richesses ce qu'il faut en faire...
Voyez comme ils sont bêtes ,leur épargne constituée de fausse monnaie n'existant que sous la forme de promesses de payer dort toujours chez les banksters malgré le tour de force de l'UE collectiviste , communiste commis à Chypre !
Même la Bible dit , d'une certaine manière que les gens sont c... :
"Ils avaient des yeux pour voir mais ne voyaient pas."
"Ils avaient des oreilles pour entendre mais n'entendaient pas."
Conclusion :
Nous sommes prisonniers des c... et l'élite corrompue les utilise à des fins de domination et de spoliation .
Oui , ils méritent leur sort!

Evaluer :   14  1Note :   13
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@ Sebastien H

Lachez vous ça fait du bien !
Les cons ça osent tout vous connaissez la suite...
Et puis je suis moi-même assez con, prisonnier du système, mais pas indécrotable. Je m'organise petit a petit pour quitter ce pays que j'ai aimé mais dans lequel je ne me reconnais plus. (Marié, 2 gosses, plus vraiment jeune, on est responsable et ce n'est pas simple sans être vraiment blindé financièrement...)
Je veux proposer autre chose aux enfants.
Evaluer :   9  2Note :   7
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Je vous renvoie à un livre sympa à lire d'un auteur français qui s'appelle Yvon Audouart et dont le titre est :"Lettre ouverte aux cons". En préambule il est écrit :" Il y a 97% de cons. Les 3% restants étant une masse fluctuante..."
Evaluer :   4  0Note :   4
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Nous sommes effectivement prisonniers et malheureusement encore trop peu de personne en prenne conscience. Merci Sebastien de décrire les choses comme vous les voyez, les notations ne reflètent en rien la justesse de vos propos, et celles négatives doivent encore et toujours appartenir à des spectateurs du super match d'hier soir........
Evaluer :   5  0Note :   5
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Bravo, vous avez à peu près tout dit.

Les élus sont élu par les c... qui ne veulent pas se donner la peine de comprendre dans quel système on vit. Par contre ils savent bien s'en plaindre. Ceci est dû, je penses, au fait qu'ils ont peur, ils ont la trouille au ventre d'essayer de comprendre et de dénoncé cette mafia financière du FMI (créé par la réserve fédérale en 1947, cette banque privée créée elle-même par Rockfeller, Rithschid et JP morgan en 1913 pour nous plumer), dont les élus sont des marionnettes !

Ils ont aussi peur de prendre leurs responsabilités et préfèrent se comporter comme des gamins dans une cour de récréation à l'abri de la surveillance des parents (ces personnes non élus qui nous éduquent au début, a méditer, suis en forme ce matin).

Le réveil va être brutal car, avec la directive BRRD qui permet au banques en difficulté de légalement voler l'argent des déposants depuis janvier 2016, c'est à dire nous, et la crise financière qui vient de commencer, tous ces c... qui n'ont pas voulu prendre leurs responsabilités en faisant confiance au système, vont se retrouver les premiers dans la rue à faire la révolution et se plaindre !!!

Comme vous, lorsque j'en parle autour de moi, lorsque je dis qu'il faut protéger son épargne en sortant son pognon du système financier et acheter des biens tangibles (or, argent, maison avec jardin de légumes, poules, lapins etc...bref se préparer), on me répond : "Oh Steven mais ça ira pas jusque là voyons".

Certains régissent positivement et courent acheter des louis d'or, j'en connaît, mais la plupart son atone, traumatisé et incapable de prendre une décision.
Et quand ils se feront voler leur épargne et leur précieuse assurance vie par leur banque, ils vont encore dire "C'est pas juste, c'est scandaleux, quelle bande de voleurs, moi aussi je me suis tout fait piqué" etc. etc.

Mais quelle bande de c... lol

Finalement, je ne peut qu'en rire.

Au secours, on est cerné par les neuneus.
Evaluer :   1  0Note :   1
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Bravo, vous avez à peu près tout dit.

Les élus sont élu par les c... qui ne veulent pas se donner la peine de comprendre dans quel système on vit. Par contre ils savent bien s'en plaindre. Ceci est dû, je penses, au fait qu'ils ont peur, ils ont la trouille au ventre d'essayer de comprendre et de dénoncé cette mafia financière du FMI (créé par la réserve fédérale en 1947, cette banque privée créée elle-même par Rockfeller, Rithschid et JP morgan en 1913 pour nous plumer), dont les élus sont des marionnettes !

Ils ont aussi peur de prendre leurs responsabilités et préfèrent se comporter comme des gamins dans une cour de récréation à l'abri de la surveillance des parents (ces personnes non élus qui nous éduquent au début, a méditer, suis en forme ce matin).

Le réveil va être brutal car, avec la directive BRRD qui permet au banques en difficulté de légalement voler l'argent des déposants depuis janvier 2016, c'est à dire nous, et la crise financière qui vient de commencer, tous ces c... qui n'ont pas voulu prendre leurs responsabilités en faisant confiance au système, vont se retrouver les premiers dans la rue à faire la révolution et se plaindre !!!

Comme vous, lorsque j'en parle autour de moi, lorsque je dis qu'il faut protéger son épargne en sortant son pognon du système financier et acheter des biens tangibles (or, argent, maison avec jardin de légumes, poules, lapins etc...bref se préparer), on me répond : "Oh Steven mais ça ira pas jusque là voyons".

Certains régissent positivement et courent acheter des louis d'or, j'en connaît, mais la plupart son atone, traumatisé et incapable de prendre une décision.
Et quand ils se feront voler leur épargne et leur précieuse assurance vie par leur banque, ils vont encore dire "C'est pas juste, c'est scandaleux, quelle bande de voleurs, moi aussi je me suis tout fait piqué" etc. etc.

Mais quelle bande de c... lol

Finalement, je ne peut qu'en rire.

Au secours, on est cerné par les neuneus.
Evaluer :   3  0Note :   3
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tres bon arcticle effectivement ,
la " democratie" telle quelle est nommée est juste un truc deguisé.
cela dit je vous invite de tout coeur a visionner ce lien ci dessous , une vrai leçon de democratie au monde entier.. l'Islande
https://www.youtube.com/watch?v=v0i5uDLAQng
(invisible dans les merdias)
Evaluer :   10  1Note :   9
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" Il faut délégitimer ce système par lequel une élite dirigeante s'approprie légalement le contrôle de l'État" nous sommes d'accord sur ce point, mais c'est bien ici la preuve que nous ne sommes pas dans des démocraties et que l'élection est un processus Oligarchique. De même la véritable démocratie ce n'est pas la dictature du plus grand nombre c'est aussi la possibilité offertes aux citoyens de se retourner contre l'état si ils estiment que ce derniers porte atteinte à leurs droits les plus fondamentaux. On voit bien que ce n'est pas le cas dans nos systèmes politiques actuels. La grande erreur d'aujourd'hui c'est de confondre les systèmes politiques actuels avec des démocratie, cet article en est la plus belle preuve...
Evaluer :   9  1Note :   8
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Un vrai bonheur ce billet !

MERCI
Evaluer :   13  2Note :   11
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" Mes idées sont trop originales pour susciter l'adhésion des masses bêlantes ataviquement acquises aux promiscuités transpirantes et braillardes inhérentes à la vulgarité du régime démocratique chez nous imposé par la canaille régicide.
Pierre Desproges.
Evaluer :   6  0Note :   6
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Excellente analyse ! Green Lire la suite
glanduron - 28/04/2017 à 09:47 GMT
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