Si
même les dirigeants d’anciennes nations communistes mettent en
garde les Américains contre les risques représentés par
la redistribution, la taxation et la centralisation des politiques
économiques et monétaires, c’est qu’il y a un
problème.
Obama
est un communiste et fait sans conteste la promotion du Manifeste Communiste,
bien qu’il refuse encore de faire usage de ces termes.
Il
est un Américain bien malin.
Son
culte de la personnalité envoûte ceux qui ne peuvent aller
au-delà de leur ignorance. Ils continueront de le suivre comme ces
dupes qui en Russie font encore l’apogée de Lénine et de Staline.
Les dupes d’Obama et les dupes de Staline sont bercés des
mêmes illusions.
En
lisant le discours de Poutine sans en connaître l’auteur, on
aurait presque pu croire qu’il avait été écrit par
Reagan ou un autre conservateur Américain. Son discours promeut la
restriction de la taille du gouvernement et une réduction des taxes.
Cela n’apparaît pas comme une surprise aux yeux de ceux qui
connaissent les penchants conservateurs de Poutine. Voici ce qu’il a
déclaré :
‘…
Nous réduirons les taxes sur la production et investirons de
l’argent dans l’économie. Nous tenterons également
de gérer au mieux les dépenses du gouvernement.
Il
serait une grave erreur que de trop interférer avec la vie
économique de notre pays et de croire en la toute-puissance de
l’Etat.
Il
n’a jamais été prouvé qu’il soit possible
d’atteindre de meilleurs résultats en donnant plus de
responsabilités à l’Etat.
L’expansion peu raisonnable
du déficit budgétaire et l’accumulation de la dette
nationale peuvent être tout aussi destructrices que de
s’aventurer sur le marché des actions.
Sous
l’Union Soviétique, le gouvernement avait le pouvoir total sur
l’économie, ce qui a entraîné une absence totale de
compétitivité.
Cette
expérience nous a coûté très cher et je suis
certain que personne ne voudrait que cette histoire se
répète’.
Source:
Pravda
Il
n’est pas nécessaire de se demander bien longtemps si le
président Obama est un socialiste.
Mais
le socialisme n’est qu’une mise en bouche avant le plat principal
qu’est le communisme.
Sa
rhétorique et, plus important encore, ses actions, ont prouvé
que ses idéologies personnelles sont liées à un concept
ayant été rejeté avec véhémence par les
Américains tout au long de l’histoire de notre nation.
“Jeder nach seinen
Fähigkeiten, jedem nach seinen Bedürfnissen!”
Karl Marx (1875)
De
chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins.
C’est
là une idée développée par les mouvements
socialistes du milieu des années 1800 et rendue populaire par le
philosophe politique et économiste Karl Marx, une idée qui
pourrait être tenue responsable pour l'emprisonnement et la mort de plus de 200 millions de
personnes tout au long du XXe siècle..
Les
idées de Karl Marx ont clairement transformé la face du monde
– et pas nécessairement pour le meilleur. S’il est une
chose que nous devons mentionner ici, c’est que ses idées ont
débouché sur une diminution des libertés individuelles
et un contrôle accru de l’Etat sur la vie des gens.
Malgré
ses échecs, nombreux sont encore ceux à embrasser les principes
fondamentaux du communisme.
A
dire vrai, au moins 60 millions d’Américains supportent des
politiques communistes/socialistes de gauche, comme ont pu nous le prouver
les récentes élections. A leurs yeux, il existe une forme
d’utopie dans laquelle le riche, le fortuné et le chanceux
peuvent être dérobés de leur patrimoine pour que tous les
Hommes puissent être égaux.
Mais
comme pour toute illusion, et sans prendre en compte les efforts du
président Obama à créer une société
parfaite, le contrôle de l’Etat sur la nourriture,
l’immobilier, la technologie, le voyage et l’économie
s’achèvera sur un échec cuisant.
Il
nous suffit de jeter un œil à l’Union Soviétique pour
comprendre quelles en seront les conséquences.
Le
président Obama voudrait transformer fondamentalement les Etats-Unis.
Lui et le reste de nos élus font de leur mieux pour porter ce projet
à bout.
Ce
qui devrait nous faire le plus peur, c’est que, compte tenu de
l’actuel climat économique, social et politique aux Etats-Unis,
leurs tentatives puissent porter leurs fruits.
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