La contagion se propage

La situation actuelle est totalement absurde. Il est aujourd’hui une nécessité que les mauvais prêteurs tombent dans la banqueroute. Les gens ne cessent de se plaindre du ‘chaos’ qui surviendrait si les banques centrales levaient quelque peu le pied et laissaient le marché déterminer les prix ; mais à quel type de chaos ferions-nous face si aucun prix, depuis le prix du pain jusqu’aux taux d’intérêt, n’était déterminé par les individus sur un marché libre ?

Lorsque les prix sont faussés, personne n’investit en quoi que ce soit de productif. Les seuls marchés qui seront bientôt en mesure de fonctionner relativement librement seront les marchés noirs et le crime.

Les accusations fusant entre les dirigeants Européens sont de plus en plus crues et anti-diplomatiques. Les prochaines élections devraient voir arriver une poignée de nationalistes au pouvoir. Alors que les jolis contes de fées socialistes se heurtent rudement à la réalité, la première chose qu’iront chercher les politiciens désenchantés sera un long bâton avec lequel commencer leur riposte.